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La santé à tous les âges de la vie
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L’état de santé des enfants d’âge scolaire en France. Apport des observatoires
régionaux de la santé sur la production d’indicateurs liés à la santé des enfants d’âge scolaire (décembre 2017)
À la demande de la Direction générale de la santé (DGS), la Fnors a réalisé un état des
lieux des dispositifs existants en France pour suivre l’état de santé des enfants d’âge scolaire, notamment à travers
l’implication des ORS sur la mise en place d’études ou la production d’indicateurs auprès de cette population. Dans un
premier temps, ce document présente les dispositifs de suivi de la santé des enfants en milieu scolaire en France et
les indicateurs disponibles à l’échelle nationale. Puis, afin de mettre en av-ant les démarches locales, un état des
lieux est réalisé et porte sur les travaux des ORS impliqués pour l’exploitation de données issues de dispositifs
existants ou pour la mise en place d’enquêtes spécifiques. Chaque système d’information mis en place par les ORS fait
l’objet d’une fiche de synthèse en annexe du document.
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Promotion de la santé à l'école : agir sur le climat
sclaire
La promotion de la santé repose sur une approche globale de la santé telle que définie
par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1948. Pour permettre d’appréhender cette acception large de la
santé, qui dépasse ses seuls aspects biomédicaux, l’OMS précise que l’ensemble des déterminants de la santé sont « les
circonstances dans lesquelles les individus naissent, grandissent, vivent, travaillent et vieillissent ainsi que les
systèmes mis en place pour faire face à la maladie ». Ainsi, « à chaque étape de la vie, l’état de santé se caractérise
par des interactions complexes entre plusieurs facteurs d’ordre socio‑économique en interdépendance avec
l’environnement physique et le comportement individuel ». Ces déterminants de la santé « n’agissent pas isolément.
C’est la combinaison de leurs effets qui influe sur l’état de santé ».
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Pratiques professionnelles
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Prévention et promotion de la santé à destination des personnes en situation de
handicap. État des lieux
➔ Les 10 pistes de travail envisagées :
1. Sensibiliser les professionnels des établissements et services médico-sociaux aux notions de promotion de la
santé, d’éducation pour la santé et de prévention ;
2. Diffuser les préconisations existantes concernant les facteurs favorisant l’implantation de projets de
promotion de la santé dans les institutions ;.....
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Guide d'implantation de l'approche de la santé dans toutes les politiques au
palier local
Ce guide a été préparé à la demande du Réseau francophone international pour la
promotion de la santé, Section des Amériques (RÉFIPS-SA) afin de fournir une référence accessible aux promoteurs de la
santé de langue française intéressés par l’approche de la Santé dans Toutes les Politiques (SdTP) appliquée aux paliers
régional, territorial ou local. Il a été produit à partir de quatre documents publiés en anglais et qui ont déjà fait
l’objet d’un consensus national ou international. Les auteurs s’en sont inspirés pour établir les étapes de mise en
œuvre adaptées au palier local
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Education thérapeutique du patient
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Création et évaluation d'une brochure d'informations sur un médicament intégrant
les principes de littératie en santé
La transmission d’informations, le partage de nos connaissances, l’éducation des
patients sont des missions importantes pour les professionnels de santé. Mais est-ce-que les patients comprennent ce
qu’on leur explique ? Après de nombreuses années d’études, à apprendre notre jargon médical, il est parfois difficile
de trouver les mots, de trouver les moyens d’expliquer avec des mots simples la fonction d’un médicament, la pathologie
qu’il traite, les effets indésirables qu’il faudra surveiller.
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Financement de l'accompagnement médico-social des personnes handicapées. Rapport
du Sénat
Lancé en janvier 2018, le groupe de travail a entendu les principaux acteurs
institutionnels et associatifs de l’accompagnement médico-social du handicap. Il a examiné l’adéquation de l’offre
existante à la demande exprimée par les personnes handicapées et la pertinence du modèle financier qui régit
actuellement leur accompagnement.
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Le nombre des bénéficiaires de l’allocation aux adultes handicapés a doublé
depuis 1990
Fin décembre 2017, 1,13 million de personnes perçoivent l’allocation aux adultes
handicapés (AAH), dont 55,6 % l’AAH1 (taux d’incapacité supérieur ou égal à 80 %) et 44,4 % l’AAH2 (taux d’incapacité
entre 50 % et 79 %). 52 % des allocataires de l’AAH1 sont des hommes, dont l’âge médian est de 48 ans. Les femmes
allocataires de l’AAH1 sont légèrementplus âgées, leu âge médian étant de 51 ans. La répartition par sexe des
allocataires de l’AAH2 est identique à celle de l’AAH1. En revanche, les allocataires de l’AAH2 sont plus jeunes (âge
médian de 47 ans). Les taux de prévalence à l’AAH2, c’est-à-dire la proportion des allocataires parmi la population de
la classe d’âge, sont plus élevés chez les hommes que chez les femmes jusqu’à 43 ans ; au-delà, la tendance
s’inverse.
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La dépression en France chez les 18-75 ans : résultats du Baromètre santé
2017
Le fardeau sanitaire, économique et social induit par les troubles mentaux a contribué à
inscrire la santé mentale au premier rang des priorités de santé publique. L’objectif de ce travail est de présenter
les données de prévalence de l’épisode dépressif caractérisé (EDC) en France métropolitaine en 2017, d’identifier les
segments de population les plus concernés et d’observer les évolutions depuis 2005.
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Etude qualitative des attentes et usages des m-Health par l'ensemble des parties
prenantes.
Les nouvelles technologies de e-santé1 ont un important potentiel de transformation et
d’amélioration des pratiques thérapeutiques et de prévention en santé (Marzano et al., 2015). Elles permettent non
seulement d’améliorer l'efficacité des soins mais peuvent modifier en la nature même (Hollis et al., 2013). Elles vont
bouleverser les modalités de prise en charge, modifier de manière majeure ce qu’on sait ou ce qu’on croit savoir sur
ces troubles (Collins, 2015) et participer de et à une « médecine 4P » : prédictive, préventive, personnalisée et
participative. En créant une matrice d'informations beaucoup plus complète que ce qui est aujourd’hui réalisable pour
chaque patient, elles ouvrent la voie à une médecine de précision (Insel, 2014)(Torous, Staples, & Onnela,
2015)(Hood & Flores, 2012).
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Health data hub : rapport de la mission de préfiguration
La mission, pilotée par trois experts, réunit également des représentants de la
recherche, de l’écosystème des start-ups, de l’industrie, des professionnels et établissements de santé, de
l’administration et de l’Assurance Maladie (cf. annexe pour une liste plus détaillée). Un très grand nombre d’acteurs
de l’écosystème ont été entendus et/ou ont activement contribué à ces réflexions (cf. annexe). La mobilisation de la
communauté a été très appréciée par la mission qui remercie vivement toutes les personnes avec qui elle a interagi. Le
rapport propose une feuille de route pour la mise en œuvre opérationnelle du « Health Data Hub », ainsi que des
recommandations, notamment sur les aspects organisationnels et réglementaires pour que cette feuille de route puisse se
dérouler dans un contexte favorable. Il s’appuie sur les entretiens réalisés, cependant ses conclusions n’engagent que
ses auteurs.
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Les drogues à 17 ans : analyse régionale Septembre 2018 - ESCAPAD
2017
L’objectif de ce rapport est de décrire les niveaux d’usages des produits psychoactifs
les plus diffusés à l’adolescence selon les nouvelles régions hexagonales et dans quatre territoires d’outre-mer
(Guadeloupe, Guyane, La Réunion, Martinique). Les cartographies proposées révèlent des disparités régionales plus ou
moins fortes selon le produit et la fréquence d’usage considérés : les niveaux de consommation régionaux s’avèrent par
exemple plus contrastés pour l’alcool que pour le tabac. Signalons que l’étude régionale des niveaux d’usage des
produits illicites autres que le cannabis (cocaïne, MDMA/ecstasy, etc.) demeure toujours délicate : compte tenu du
nombre très faible d’adolescents expérimentateurs à cette échelle, la puissance statistique est d’autant plus faible.
Les résultats doivent donc être lus avec prudence.
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HAS : Coordination entre médecin généraliste et différents acteurs de soins dans
la prise en charge des adultes souffrant de troubles psychiques
Etats des lieux, repères et outils pour une amélioration. Ce travail entre dans le cadre
du programme pluriannuel « psychiatrie et santé mentale » de la Haute autorité de santé (HAS).
Le médecin généraliste est un acteur majeur de la prise en charge des troubles mentaux. Il participe à la détection et
au traitement des troubles et accompagne les patients dans le cadre d’une prise en charge globale.
On constate en France une coordination insuffisamment développée entre le médecin généraliste et les professionnels
spécialisés en psychiatrie et santé mentale notamment. Cette situation peut aboutir à des ruptures de soins,
susceptibles d’avoir des conséquences importantes pour le patient, tant sur le plan psychiatrique que somatique.
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Etude : E-santé mentale, quelles représentations ? Quelles pratiques
?
Découvrez les premiers résultats de l'Étude Qualitative des attentes, besoins et Usages
des M-Health [technologie de e-santé en santé mentale] par l’Ensemble des parties prenantes (EQUME) menée par le Centre
Collaborateur de l’Organisation Mondiale de la Santé (CCOMS) et l'EPSM-Lille métropole.
Pour l'OMS, la e-santé pourrait être un moyen efficace d'améliorer la promotion de la santé, la prévention et les
pratiques thérapeutiques. Cependant, la e-santé - et plus particulièrement la e-santé mentale - est susceptible
d'entraîner des changements socio-anthropologiques majeurs. Des études sont nécessaires pour bien comprendre et
accompagner ces changements. Quelles sont les représentations et les pratiques des acteurs dans le domaine de la
psychiatrie / santé mentale dans le contexte actuel d'évolution technologique ?
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Les leviers pour lever les freins psychologiques à l'aménagement du logement.
Etude
Silver Valley a mené un groupe de travail sur l’Habitat Privé, en partenariat avec la
Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse en Ile-de-France et co-animé par le Groupe O2 (oui care) et Les Senioriales®.
L’objectif de ce groupe de travail était multiple :
• identifier des leviers pour lever les freins à l’aménagement du logement,
• désigner les acteurs susceptibles d’influencer la psychologie d’un senior et l’achat/l’adoption ou non d’une
solution,
• définir les meilleurs moments pour intervenir auprès des personnes concernées, les leviers à actionner pour lever les
freins.
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La santé des chercheurs d'emploi
Solidarités Nouvelles face au Chômage (SNC), une association œuvrant dans le domaine du retour à l’emploi, a choisi de
consacrer la seconde édition de son rapport à la thématique de la santé des chercheurs d’emploi. Arguant que leur santé
est un sujet insuffisamment prise en compte en France, l’association dresse le tableau des effets du chômage sur
la mortalité, les pathologies, les habitudes de vie, les addictions, les comportements à risque et la santé mentale. Le
risque de décès des chercheurs d’emploi serait ...
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Évaluation de l’application de la loi du 2 février 2016 sur la fin de
vie
Pr L.Barret, S.Fillion, L-C.Viossat (IGAS)
Une législation complexe sur la fin de vie a été progressivement élaborée au cours des vingt dernières années. Elle a
été complétée par la loi du 2 février 2016, dite loi « Claeys-Leonetti », qui a conféré de nouveaux droits aux malades
en fin de vie, en particulier le droit d’établir des directives anticipées contraignantes et de demander une sédation
profonde et continue jusqu’au décès. L’IGAS a été chargée d’évaluer l’application de cette loi.
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Accès et qualité des soins
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Rapport des délégués nationaux à l'accès aux soins
Elisabeth Doineau, Thomas Mesnier et Sophie Augros, ont été désignés comme délégués
nationaux à l’accès aux soins. Ils ont été chargés de faire remonter les expériences réussies de chaque territoire,
ainsi que les difficultés rencontrées sur le terrain dans le cadre de la mise en œuvre du Plan pour un égal accès aux
soins. Dans un rapport récemment publié, les délégués remarquent que les manières d’exercer la médecine sont en pleine
transformation. Ces changements, ajoutent-ils, doivent être accompagnés pour réussir la mise en œuvre du Plan.
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Rapport sur la pauvreté en France
La pauvreté est l’une des inégalités les plus visibles. Entre 2006 et 2016, le nombre de
pauvres a augmenté de 630 000[1] au seuil à 50 % du niveau de vie médian alors qu’en même temps la richesse nationale
s’est accrue de 7 %, soit de 170 milliards d’euros. Ce n’est pas un paradoxe mais la conséquence d’une distribution
inégalitaire des revenus qui témoigne de l’absence de ruissellement des richesses concentrées en haut de la pyramide. «
Il parait que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c’est une crise.
Depuis que je suis tout petit, c’est comme ça » : la plaisanterie de Coluche n’a jamais été aussi exacte
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Près du quart de la population européenne est toujours en risque de pauvreté ou
d’exclusion sociale en 2016
En 2016, 118 millions de personnes sont en situation de pauvreté ou d’exclusion sociale
dans l’Union européenne (UE-28), soit 23,5 % de la population, selon un indicateur composite mesurant la pauvreté
monétaire, la privationmatérielle et l’exclusion, totale ou partielle, du marché du travail. Tous les ménages ne sont
pas uniformément confrontés à la pauvreté. Les femmes, les jeunes et les personnes sans emploi ou en situation
d’isolement sont généralement les plus concernés
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